Votre histoire, vos témoignages

Myriam m’a aidé pendant le COVID à sauver mon allaitement!

Rated 5 out of 5
6 mai 2020

Arthur est né le 7/3 en plein début de crise CORONAVIRUS. Sa naissance a été compliquée et dès son arrivée l’allaitement au sein s’est avéré une opération commando: sa bouche était trop petite et mon sein n’avait pas assez de relief pour qu’il arrive à téter. Mis à part des pleurs et des frustrations mon fils n’arrivait pas à se nourrir au sein.

J’avais à cœur de ne donner que du lait maternel à mon fils, j’ai donc dû prendre la décision de tirer mon lait.

Cela n’a pas été une mince affaire car au bout de deux semaines de tire allaitement j’ai commencé à avoir de vives douleurs dans un des seins au moment du tirage,un engorgement et des crevasses.

A ce moment là je me suis sentie complètement perdue et je ne savais absolument pas comment m’y prendre malgré des heures passées sur le web a tenté de trouver THE solution pour continuer sereinement. Je me suis même posée la question d’arrêter. Je me sentais seule et démunie face à quelque chose qui normalement devrait être naturel. Mon conjoint ne savait plus comment m’aider.

J’avais consulté Myriam avant mon accouchement pour un cours de préparation à l’allaitement et, quand elle est venue prendre des nouvelles, nous avons échangé sur mes difficultés. Elle m’a proposé des séances Skype afin de me soutenir et surtout de me guider dans mon allaitement.

Deux séances par Skype chargées de bienveillance, d’écoute, et de compassion m’ont permis de passer du tire allaitement à l’allaitement exclusif au sein en même pas une semaine. Elles m’ont également permis de remédier à mes engorgements et commencer la cicatrisation de mes crevasses. Myriam m’a aidé à mettre en place des règles de vie et d’hygiène d’une maman allaitante pour que cela puisse durer dans le temps.

Même en période de confinement nous avons pu avoir des échanges aussi efficaces que s’ils avaient été de visu.

Aujourd’hui encore dès qu’un petit souci pointé le bout de son nez concernant mon allaitement, je ne me pose plus de question, je contacte directement Myriam. Sa réactivité, sa sincérité ainsi que sa bienveillance ont été un réel soutien pour moi.

Audrey et Arthur

Jumelles

Rated 5 out of 5
18 janvier 2020

Après un allaitement qui a échoué pour mon premier enfant par manque d’information et naissance très prématurée, j’ai vraiment ressenti le besoin de “m’armer” pour cette deuxième aventure.

Alors qu’encore une fois les conditions étaient a priori plutôt défavorables (réduction mammaire, grossesse de jumeaux, grossesse à risque et accouchement prévu prématurément), j’ai souhaité rencontrer Myriam pour tout savoir, tout organiser et me préparer au mieux à accueillir mes 2 bébés et les allaiter dans les meilleures conditions possibles.

Après avoir fait le tour de la question ensemble lors d’un rdv à domicile vers la fin de ma grossesse, et avoir lu 2 ouvrages qu’elle m’avait recommandé (“plus de lait” et “allaiter des jumeaux”) je me sentais confiante et sûre de pouvoir mener à bien ce projet tout au moins en partie (la seule inconnue: les conséquences réelles de mon opération de la poitrine sur ma capacité à produire une quantité suffisante de lait, qui plus est pour 2 bébés).

J’ai accouché un peu avant les 8 mois de grossesse de 2 petites filles de petit poids, qui ont eu besoin de quelques soins particuliers et notamment d’une sonde gastrique pour Ella.

Dès la salle de naissance j’ai mis en pratique les conseils de Myriam, et le “planning” qu’elle m’avait concocté pour stimuler au maximum ma lactation en l’absence de bébé au sein. J’ai commencé avec le recueil manuel de colostrum et poursuivi avec le tire lait toutes les 3h (8fois par jour) pour pouvoir nourrir mes bébés avec mon lait. L’une était au biberon (Justine) et l’autre à la sonde (Ella). Rapidement j’ai commencé les mises au sein et une routine _épuisante, je dois l’avouer_ s’est mise en place à la maternité pour se poursuivre à la maison: proposer le sein, puis réchauffer et donner un biberon de mon lait (stocké au frigo) à la première, refaire la même chose pour la deuxième puis enfin tirer mon lait…et ce, toutes les 3h au début avec un petit gars de 2 ans à mes côtés! J’avais clairement l’impression de ne faire que ça mais quelle satisfaction de pouvoir nourrir exclusivement mes filles au lait maternel! J’ai même rapidement réussi à faire des stocks (plus de 8 litres au congélateur!).

Au bout d’un mois, Ella a réussi à prendre un repas complet au sein sans complément puis, petit à petit, est passée en allaitement exclusif au sein sans aucun biberon. Malheureusement pour moi Justine n’a jamais réussi à téter correctement malgré toutes nos tentatives (j’avais revu Myriam à ce sujet d’ailleurs): DAL, seringue, doigt…rien n’a fonctionné.

J’ai donc continué à tirer mon lait pour Justine qui le buvait au biberon et nourri sa sœur au sein directement.

Elles ont été nourries ainsi jusqu’à leurs 3 mois. Culpabilisant de ne pas pouvoir leur apporter la même chose car le contact me manquait vraiment avec Justine, j’ai décidé de réintroduire petit à petit des biberons pour sa sœur Ella (de lait maternel toujours). Puis, à leur 4 mois j’ai choisi d’introduire le lait artificiel pour commencer en douceur un sevrage qui a finalement eu lieu il y a peu de temps. J’avais besoin de pouvoir m’absenter plusieurs heures et de retrouver du temps pour moi et le tire lait n’était vraiment plus mon ami à ce sujet!

Elles ont aujourd’hui presque 6 mois et sont sevrées depuis peu. Pari relevé pour moi!

Myriam a été indispensable à la réussite de mon projet! Grâce à elle j’ai pu ignorer les “bons” conseils de certaines sages femmes ou puéricultrices et me faire entièrement confiance. Elle a toujours été là pour m’encourager, me soutenir, et me féliciter durant les premiers temps un peu difficiles et à la moindre baisse de moral (qui n’est pas rare avec la fatigue causée par les jumeaux!). Nous avons cherché ensemble des solutions pour Justine et elle m’a toujours montré les côtés positifs et le chemin parcouru ce qui m’a aidé à ne pas perdre confiance en moi et en mes capacités de maman.

Quel bonheur de leur avoir donné mon lait de maman, d’avoir connu ce contact privilégié de l’allaitement au sein!

Je regrette un petit peu de ne pas avoir pu nourrir mes deux filles au sein directement ce qui aurait simplifié grandement les choses et m’aurait permis de poursuivre plus longtemps l’allaitement maternel, mais je suis déjà si fière d’avoir réussi avec mes deux poupées ce qui m’avait été impossible pour mon petit garçon.

J’aimerais dire à toutes les mamans qui doutent que tout est possible! N’est ce pas Myriam?

Emilie

Relactation

Rated 5 out of 5
18 janvier 2020

J’apporte mon témoignage afin d’encourager les jeunes mamans qui souhaitent allaiter leurs petits trésors. Surtout celles qui ont laissé tomber leur allaitement, par manque d’informations, de soutiens………………Il n’est jamais trop tard !

Avant la naissance de mon petit JP, j’ai commencé à poser des questions sur l’allaitement du fait de la forme ombiliquée de mes mamelons. Je me suis alors inscrite dans des ateliers afin d’y trouver des réponses ( à ma grande surprise, ma démarche n’était pas comprise, les personnes à qui je m’adressais, me répondaient: « l’allaitement est une évidence madame !vous n’avez pas besoin de préparations !!!!!!!!!!!)

Je connaissais l’allaitement…, Car autour de moi , ma mère, mes sœurs, mes cousines, mes tantes, mes amies ont allaité. En bref, je me disais « tu vas devenir mère et allaiter ton enfant » que j’appelais affectueusement « petit tigre » (il n’arrêtait pas de bouger et de me donner des coups)

Puis, au fur et à mesure de ma grossesse, mon corps se modifiait, mon ventre s’arrondissait, mes seins s’épanouissaient en vue de nourrir mon bébé…… un liquide un peu jaunâtre coulait de temps en temps de mes seins et j’avais du sébum autour sur l’areole…… et mes craintes disparurent : J’allaiterais.

Enfin, le jour J est arrivé, ce matin d’octobre (05), ce bébé tant désiré est né. Ma Vie, mon Ange, mon Amour, ma raison de me lever chaque jour s’est enfouie dans ma poitrine pour s’abreuver de cet or si précieux…(avec l’aide d’une auxilliaire de puériculture et d’un bout de seins en silicone « que j’ai mis dans ma valise de maternité au cas ou » )

Tout était parfait… Et pourtant…

J’ai accouché à 06h06, eu ma chambre à 12h … j’ai demandé a mes proches de ne pas me rendre visite car je voulais me reposer………

Le soir même, il a encore tête… deuxième jour un tout petit peu……..Troisième jour, il n’a pas tete. Je demande de l’aide a l’équipe médicale de garde. Réponse : vous n’avez pas encore de montée de lait, donc c’est normal. Quatrième jour mes seins ont gonflés « comme des pasteques »”

Mon petit tigre commence a perdre du poids. Une aide soignante me ramene un biberon de lait artificiel.

Je refuse de le donner à mon fils, elle appelle la sage femme. Cette dernière me demande pourquoi je refuse de nourrir mon fils. Je lui dis que je souhaite allaiter

Elle demande a l’aide soignante de ramener un complement compatible avec l’allaitement maternel. Elle m’examine et en voyant mes seins, elle m’a regardé droit dans les yeux : madame, vous faites un engorgement !

Je la regarde avec des grands yeux, qu’est ce que c’est ! Je ne comprenais pas…. Elle m’a expliqué et ma rassuré

Malheureusement, le lendemain, j’avais à faire à une autre équipe qui a préféré procéder à l’ancienne : masque d’argile, feuille de choux

Je demande une ordonnance afin de louer un tiré lait pour tirer mon lait et le donner avec une pipette……. Le corps médical me réponds que ce n’est pas nécessaire…….

mon bébé devra continuer à être nourri aux biberons de complément

Lorsque la sage-femme est revenue deux jours plus tard, me dire de tenir bon, qu’elle allait me prescrire de l’ocytocine afin de provoquer l’éjection du lait, je profita pour lui demander une ordonnance pour le tire lait : donc je pris de l’ocytocine dans un petit verre d’eau……….. mon état ne s’ameliora pas non plus.

J’obtiens l’ordonnance 4 jours après ma demande. (Trop tard…….. mais je gardais secrètement espoir de pouvoir allaiter. Alors je pris contact avec une société spécialisée dans la f)

je commençais sérieusement à m’inquiéter pour mon petit tigre……. qui ne sera pas nourri au lait maternel.

c’est le début de l’enfer, qui s’arretera 1 mois plus tards……….

Evidemment, l’arrêt brutal de l’allaitement m’a permit de connaître les joies de l’engorgement… et des douloureux jours passés sans lait…….

Ça y est, mon petit tigre était biberonné par tout le monde

J’ai vaguement essayé de le remettre au sein quelques fois sans grande conviction, en vain…… car le bout de seins ne tenait pas…… plutôt je ne savais pas m’en servir

Commencer ma vie de maman sur un échec, et cet échec m’était inconcevable. Non ! Je ne laissera pas tomber…Je demande à Dieu de me donner la force, l’énergie nécessaire et surtout de m’aider à surmonter cet épreuve……… Secrètement , je repris mes notes des ateliers pour futurs mamans et je faisais des recherches sur internet…. Je lis des témoignages et des articles sur les phénomènes merveilleux que sont la lactation et la relactation chimiques et/ou avec des calactogenes (fenugrec, tisanes d’allaitement, chardon marie, orties, feuille, bière sans alcool…..). Je continuerais à stimuler ma lactation avec le tiré lait à vide, plusieurs fois par jour même la nuit ! A faire peau a peau avec mon bebe, a le mettre au sein avec le bout de seins

……….. l’hospital a demande a une sage femme libérale de poursuivre les soins a mon domicile. Elle était courtoise jusqu’au moment où je lui dis que je tenais à allaiter mon fils et que je mettrais tout en œuvre pour y arriver.

une fois a la maison, certaines personnes ont essayé de me convaincre d’abandonner mon projet d’allaitement

Un jour, ma mere a appelé mon oncle pour prendre de ces nouvelles, il a demande a me parler.

Je lui dit tout va bien oncle mais je n’ai plus de lait !…… il m’a conseiller de demander un dosage de prolactine ensuite en fonction des résultats un traitement

mon oncle m’encouragea dans ma démarche. Alors je pris contact avec une intervenante de la leche League afin d’obtenir les coordonnées d’une conseillère en lactation :

Je contacte la 1ere sur la liste, elle n’est pas disponible, je laisse quand même un message (on ne sais jamais)

Je passe à la suivante, qui passe chez moi le jour même…….. malheureusement, elle ne m’apprend rien que je sache déjà.

Parallèlement, ma sage femme a domicile me prescrire d’une part le dosage de prolactine. Resulat : 45% , taux très faible pour une femme qui vient d’accoucher

Et d’autre part, de l’homéopathie ( galactogyl, ocytocine, phytolaca, rricinus communis, ignatia, alfafa………)

Lorsqu’un mercredi apres midi, mon téléphone sonna, je decrochais sans savoir qui était au bout du fil, car je venais de me reveiller. Je dis allô ! Puis une voix feminine et douce répondit, elle se présenta…vous avez essayé de me joindre il y’a deux jours, je suis MP, conseillère en lactation….. Je consulte à domicile et au cabinet tous les jeudis… j’ai cru que je rêvais mais les gazouillis de mon petit tigre Me ramène à la réalité :Non, tu ne rêve pas.

Et je prenais rdv pour le lendemain, jeudi (02 Nov 2017) après-midi

Ma persévérance à payer ! Enfin une personne qui m’écoute, me comprend et me conseille !

J’ai acheté le livre « making more milk »un SNS, un DAL, du Fénugrec, Galactogyl, Tisanes et un traitement… car bientôt 4 semaines sans lactation !

boostee par ces conseils , je continuais à faire régulièrement du peau à peau avec bébé… J’essayais de le mettre au sein plusieurs fois avec ou sans bouts de seins, en douceur. Il ne voulait plus, afin de déclencher une relactation (relancer la machine……..tout recommencer…..)

Puis un soir, du 16 nov 2017, au bout de 7 jours de prises intensives de tous ces calactogenes et de mon traitement ; je réussis à tirer 40ml de liquide épais qui ressemblait à de la creme : du colostrum !……. Ça y’est ! J’ai à nouveau du lait, vite une photo !

Je partage la bonne nouvelle avec ma conseillère, que j’appelle ma fée !

Je continuais à tirer plusieurs fois par jour même la nuit ! Je craignais de ne plus en avoir.

Il s’endormait dans mes bras et je me suis mise à lui parler, tout lui expliquer, que « maman essayait d’avoir du lait pour son petit tigre, que c’était le meilleur pour lui, qu’il fallait qu’il m’aide, que ça allait être difficile mais que je nous faisait confiance »……. Et miracle ! Il a tété 1 minute mais il a tété avec un bout de seins .

Le lendemain j’ai encore essayé , c’était plus facile pour lui d’y revenir, je le faisait téter avec toute les deux heures entre deux tirages et deux biberons de complément .

Au bout de quelques jours, la machine, se mettait en route, j’y croyais de plus en plus. On y arrivera, je le sais.

Je ne pourrais jamais trouver les mots lorsque je l’ai entendu DEGLUTIR la première fois depuis un mois , je n’y croyais presque pas ! J’avais du LAIT ! Enfin ! Le 29 Nov 2017,quel beau cadeau de Noël !

Je diminuais progressivement les compléments de 200ml au début pour finir à 100ml.

Cet allaitement, une revanche sur la société du tout artificiel qui m’a fait douter, perdre pied.

Aujourd’hui, mon fils a 3,5 mois et notre aventure lactee se poursuit uniquement la nuit ! Je continue à tirer mon lait et je lui donne en biberons entre deux compléments

Voilà, j’espère que ce ne fût pas trop long

Douces aventures lactées à toutes les wondermoms !

Lucie

Abcès

Rated 5 out of 5
18 janvier 2020

Nous serons toujours reconnaissant pour l’aide et le soutien de Myriam quand notre Maylis avait un mois à peine.

C’était vraiment compliqué au début ; une mastite mal diagnostiquée s’est transformée en abcès conséquent.

J’étais découragée et étonnée de constater une vraie manque d’information sur cette condition.

Sans Myriam on n’aurait pas su si on pouvait poursuivre l’allaitement sans danger et comment traiter l’abcès sans être obligée de subir une opération. Maylis a passé ses six mois, nous sommes toujours en allaitement exclusif et elle se porte très bien ! Merci beaucoup Myriam, on pense à vous chaque mois lors de nos ‘moisnniversaires’ !

Irina

Soutien

Rated 5 out of 5
18 janvier 2020

Beaucoup de mamans m’ont confié ne pas avoir “réussi” à allaiter malgré leur motivation.

Enceinte de la petite Emma, j’avais moi aussi envie “d’essayer” pour lui faire profiter de tous les bienfaits. Au fond de moi, j’avais beaucoup d’appréhensions face aux échecs de mes amies mais aussi l’intime conviction que ça ne serait pas mon “truc” donc finalement pas les meilleures conditions pour démarrer.

A sa naissance, les premières tétées, ces merveilleux tête-à-tête, m’ont très vite complètement convaincue de poursuivre.

Peu conseillée, j’ai malheureusement très vite souffert de vives douleurs (crevasses) et chaque tétée était tellement douloureuse que je redoutais les prochaines.

Soutenue par mon conjoint et ma belle-sœur, j’ai fait appel à Myriam peu de temps après avoir quitté la maternité.

Myriam m’a donné des conseils précieux sans quoi je n’aurais pas tenu plus de 10 jours :-).

Aujourd’hui, Emma a presque 4 mois et je suis tout à fait à l’aise avec l’allaitement et compte l’allaiter exclusivement jusqu’à ses 6 mois (en accord avec son pédiatre).

Les réunions de soutien à l’allaitement m’ont permis de partager nos difficultés comme nos réussites mais surtout de rencontrer des mamans motivées, sympathiques avec qui profiter du bon temps pendant nos congés maternité.

N’hésitez pas à faire appel à Myriam si vous vous sentez dépassée ou si vous avez tout simplement besoin que quelqu’un vous accompagne dans vos choix. Être conseillée, soutenue et entourée est la clé de la réussite.

Merci Myriam pour votre bienveillance et conseils.

Fanny
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